FILAN ● Someone says

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WHO ARE YOU?

Nom(s) et Prénom(s) ● Filan, Ciaran, Gareth
Age en apparence et âge réel ● 24 ans, 24 ans.
Lieu et date de naissance ● 29 février, à Cambridge, UK.
Origine(s) ● Anglaises
Statut ● Statut ‘je m’en fous ?’ Il cumule les petites-amies et ne semble même pas s’en rendre compte.
Emploi ● Il est censé faire des études de droit. En fait, ça fait longtemps qu’il n’y va plus. Il s’en fout, le compte est plein.
Qualités et défauts ● je-m’en-foutiste – flemmard – désordonné – taré – provocateur – pourtant introverti – arrogant – cynique – autoritaire – irréfléchi – illogique – troublant – rêveur – tête-en-l’air – joueur – cupide.

END OF HUMANITY

(Selon le groupe de votre personnage, veuillez répondre aux questions ci-dessous. Vous êtes libre de présenter votre récit de la manière que vous souhaitez à partir du moment où l'ensemble doit atteindre un minimum de quinze lignes.)

▬ Comment s'est donc déroulée votre transformation ? ● (vampires et hybrides)
▬ De quelle manière s'est passée votre première visite au Manoir ? ● (vampires)
▬ Comment vous êtes-vous retrouvés au coeur de la communauté vampirique ? ● (hybrides)

SOMETHING TO SAY

FINAL DESTINATION

Groupe ● vampires
Célébrité ● Tom Smith
Pseudo et âge ● JB, ou Seanyboy au choix, 19 ans, 11 mois et 1 jour !
Présence sur ITMH ● Faut demander à Graeme s’il est d’accord pour faire une place à Ciaran ! héhé ! Normalement 7/7 mais bon avec la fac qui reprend le 17 ça pourrait être un peu moins !
Commentaire(s) ● BAZINGA !

PIECES OF MY MEMORY

FRESH...SHIT!

« Wow…c’est l’éclate totale ce film ! » s’exclama Ciaran la tête dans les nuages, riant sans savoir pourquoi, dans un salon brumeux, où régnait une odeur de…substance illicite. « Fais tourner Kee ! » s’offusqua un ami, qui voulait avoir sa part du marché. Mais la petite fête devant American Pie – peu importe lequel – ne dura pas. En effet, les doubles portes de la grande demeure New-Yorkaise des Filan s’ouvrit sur…Gareth Filan. Le père du jeune Ciaran. Soudainement, ce dernier s’agita et se mit à éteindre son joint qu’il planqua sous le canapé, et il ouvrit d’une traite les fenêtres. « Eh les gars il fait chaud vous ne trouvez pas ?! » Mais son père n’était pas dupe, et il regarda sa bande de copains, avant de leur ordonner : « Vous allez rentrer chez vous maintenant, n’est-ce pas ? » Ils acquiescèrent tous et se tirèrent, laissant Ciaran en tête à tête avec la personne avec qui il s’entendait le moins, probablement. Son père s’approcha de lui, jusqu’à être à quelques centimètres de lui uniquement. Il était plus petit que son fils, mais peu importe la taille, il en imposait. Il attrapa le visage de son fils comme une vulgaire balle de tennis, et observa le comportement de son fils. « T’as de si beaux yeux fils. » On pourrait penser à un compliment, mais c’était évidemment tout le contraire. Son père tendit la main, Ciaran l’observa, mais ne fit pas un geste. Son père le secoua : « Donnes. » Ce à quoi son fils ainé répondit toujours dans son monde : « Ouuuuh je te donne, tout ce que je vaux ce que je suis…Et…je connais pas la suite ! » Son père le lâcha, alors qu’il était mort de rire, et qu’il s’en donnait mal à la tête. Gareth s’approcha du canapé, et d’un coup violent, il le balança par terre, et trouva ce qu’il cherchait. Ciaran s’arrêta tout de suite de rire. Il s’attendait à ce que son père lui dise quelque chose, mais non. Son père se contenta de ramasser le joint au sol, et de le balancer par la fenêtre. Puis, il se rendit dans la chambre de son fils, où un vacarme pouvait maintenant s’entendre. Ciaran riait en allant dans le couloir, mais son père l’attrapa si violemment qu’il en fut effrayé. « Assis-toi. » … « Wow doucement là, c’est pas la mort, et pourquoi ma chambre est retournée ? Y a eu un tremblement de terre ?! » Son père le fit s’asseoir sur le lit. Et là commencèrent les reproches. « T’as un souci d’ordre mental toi je crois. C’est comme ça que tu claques mon pognon ? En achetant des préservatifs à foison, en te droguant, et en achetant des DVDs ? Tu crois au Père-Noël ? » Ciaran n’avait écouté que la dernière phrase, et riait encore : « Non le Père Noël il ex… » Ce qui irrita grandement Gareth : « TA GUEULE MAINTENANT ! Arrêtes de rire pour un rien, tu fais du tort à ta mère constamment, et tu me fais honte. Grandis maintenant Ciaran ! Tu ne montres même pas l’exemple à Sasha et Daniel. » Ciaran se tint la tête, et soupira : « Mais tu me saoules là, tu vois pas que j’ai mal à la tête ? » Il grogna en s’étalant sur son lit. Son père se leva sans rien dire, et claqua la porte. Ils ne s’entendaient pas. A entendre Shana, la mère de Ciaran, il était incompris, mais aussi très difficile. Ca faisait 5 ans que ça durait, depuis qu’ils avaient quitté l’Angleterre. Il faisait tout pour se faire remarquer, tout comme les autres. Il suivait la mode. Il regarda son téléphone, il était resté intact malgré le bordel qui régnait dans la pièce. Elle lui proposait de sortir ce soir. Elle ? C’était Alana, une fille qu’il avait rencontré un mois auparavant, plus âgée que lui, mais elle était intrigante, et sous le pari de ses potes, il devait la mettre dans son lit. Attrapant une veste qu’il mit rapidement par-dessus son t-shirt, il ouvrit lentement la porte, évitant de faire le moindre bruit. Il descendit les escaliers, il croisa la gouvernante, mais il savait qu’elle ne dirait rien. (…) Peu de temps après, il retrouva Alana dans un bar. Comme d’habitude, elle était habillée de manière à allumer tout le monde ici. Des bottes noires, une robe rouge criarde, et une veste en cuir. Elle avait tout pour plaire, et elle avait ces yeux bleus glace qui fascinait tout le monde. S’asseyant à ses côtés, il entama la conversation : « On s’ennuie de moi. » Elle le regardait d’un sourire angélique. « Précisément. » Et pourtant, il est maintenant impossible à Ciaran de se souvenir de ce qui a bien pu se passer ce soir-là ou non. En effet, il se souvient s’être retrouvé chez lui, avec cet horrible mal de tête, épuisé. Trop bu ? Trop fumé ? Tout simplement rêvé? Il aurait aimé. En se levant, il constata que quelque chose avait change chez lui. Dans son cou existaient maintenant deux marques bien visibles. Comme des trous faits au crayon. Mais ces trous étaient bien réels. Et à regarder bien attentivement, il n’était pas chez lui. Il était dans une chambre inconnue. Alors qu’il allait s’apprêter à sortir, on vint à sa rencontre. Alana. « Mais c’est qu’il dort comme un gros bébé, le petit Ciaran ! » Un peu sur la défensive alors qu’elle lui pinçait la joue, il rétorqua tout de suite, montrant les trous dans son cou. « C’est quoi ça ? Dis moi que c’est une blague ?! On est où ? » Elle fit glisser un de ses doigts froids sur les marques qui ornaient son cou, et elle lui chuchota : « Ton père ne t’a pas appris à te méfier des jolies jeunes femmes ? C’est trop tard maintenant. Et tout ça c’est la faute de tes amis…Ce sont eux qui t’ont appâté. T’es plutôt facile à convaincre. » Mais il ne l’entendait pas de cette oreille. « Je me tire. » Elle rit. « Evidemment, tu peux. Mais tu reviendras forcément. Tu nous appartiens maintenant Ciaran Filan. » C’était assez effrayant en fait. En sortant, il croisa un tas de monstres sanguinaires, qui le regardaient, assoiffés. Il n’avait pas peur, il ne supportait juste pas ce regard. Les explications ? Il allait les avoir bien assez tôt. Ses amis l’avaient juste foutu dans un merdier. Mieux que la drogue, être Freshie.

THE VAMPIRE IS HAVING ME FOR DINNER TONIGHT!

Il pleuvait des cordes à New-York. C’était un spectacle fascinant. Le paysage a l’extérieur était tout gris, peut-être même bleui. Les gens courraient pour éviter de se tremper, même ceux qui avaient des parapluies, c’était un jour à être morose. Et pourtant, Ciaran, lui était tranquille assis dans le salon, près de la grande fenêtre admirant la vue. Il y avait comme un malaise à la maison ces derniers temps. Shana, la mère de Ciaran n’arrêtait pas de se disputer avec son mari, criant et pleurant. Kee était proche de sa mère plus que n’importe qui pouvait l’être, et pourtant, il avait évité de s’en mêler. Il n’écoutait même pas ce qu’il se disait, car il se sentait persécuté, épié, il devenait paranoïaque. Il s’était fait berner, il était maintenant ce qu’on pouvait appeler un Freshie. Evidemment, il n’en disait mot sous le conseil de ses soi-disant amis qui l’étaient eux aussi. C’était cool, ils allaient être immortels. Mais alors ça servait à quoi de vivre ? Bonne question, tout n’aurait plus de goût s’il était voué à vivre pour l’éternité. Il entendit son nom soudainement. Ca le sortit de ses rêveries. « Quoi? » lâcha-t-il. Son père se tenait derrière lui, il se retourna pour lui faire face et il fut choqué de constater que c’était la première fois que son père avait l’air mal à l’aise. « Il faudrait qu’on parle tous les deux…si tu as un moment. » Il semblait perdu, que lui arrivait-il ? Au passage Ciaran venait de remarquer la présence de sa mère dans l’entrebâillement de la porte qui donnait sur la cuisine, elle avait cessé de pleurer, et elle acquiesça quand Ciaran la chercha du regard. Ils s’en allèrent dans le bureau de son père, ce dernier s’installant sur sa chaise tandis que Ciaran contemplait les tableaux et les photos qui trustaient cet endroit lugubre, tripotant des babioles en tous genres. Son père en fut agacé : « Tu peux pas rester tranquille et arrêter de toucher à tout ! C’est maladif chez toi il te faut toujours quelque chose dans les mains ! » C’était vrai, mais que son père s’énerve c’était nouveau par contre. Il lâcha alors la petite statuette et se tourna vers lui : « Qu’est ce que tu voulais me dire ? » Son père redevint sérieux, et plus calme il lui demanda de s’asseoir avant de lui avouer : « La raison pour laquelle ta mère et moi on s’est disputés c’est dernier temps est que je culpabilisais. » Il marqua une pause, son fils arqua un sourcil, comme s’il n’était pas impressionné par cette révélation. Son père poursuivit : « J’ai trompé ta mère, Ciaran, il y a des années de ça… Tu n’étais encore qu’un gamin… » Ciaran tira une tête digne d’un enterrement. Il avait osé ? « T’es qu’une pauvre merde je le savais. » Gareth craint cette dernière phrase. Pour une fois il laissa son fils dire. « Tu t’en es toujours foutu de nous. Tout ce qui compte pour toi c’est ta petite personne, tes propres envies, celles des autres tu t’en fous. Mais faire ça à maman... Si j’avais été à sa place je t’aurais collé un procès au cul et je t’aurais quitté. Mais tu vois encore au combien elle t’aime alors que toi… » Son père le coupa dans son élan : « Laisse-moi finir Ciaran. C’est pas tout. » … « T’as recommencé en plus ? C’est pas croyable! T’es qu’un…un… » Les mots ne sortaient pas alors son père en profita pour lui jeter une photo sur le bureau. « J’ai une fille. » Une fille ?! Il plaisantait ?! Ciaran attrapa la photo devant lui et regarda une petite fille d’une dizaine d’années. A regarder la photo elle datait. Du coup, Ciaran posa tout de suite une question évidente : « Et elle a quel âge à présent ? » Son père était hésitant, mais il semblait rassuré que son fils évite de lui en balancer plus. « Elle doit avoir 18 ans à présent. » 18 ans. Elle avait en clair six ans de moins que lui. Choc. Il ne se souvenait pourtant pas d’une ambiance morose à la maison, en ce temps là son père était souvent à la maison pour s’occuper de lui, alors qu’est-ce qui avait pu clocher ? Il ne le saurait donc jamais.
(…)
Retourner Boston à la recherche d’une personne c’est possible ? Si on s’appelle Ciaran Filan oui. Il avait réussi à obtenir l’adresse de sa demi-sœur. Son père avait fini par lui révéler son identité. Saoirs Sevigny, elle s’appelait. Elle avait un joli nom. Il ne savait pas grand-chose d’elle, juste qu’elle habitait là, dans cette rue. Elle allait surement être surprise, mais peu lui importait, il voulait savoir de qui il s’agissait. Il s’empressa d’aller sonner à la porte, ne sachant pas trop ce qu’il allait bien pouvoir dire une fois que la porte s’ouvrirait. Cette dernière s’ouvrit sur une femme bien plus âgée que la jeune fille qu’il cherchait. D’un grand sourire maladroit il se présenta : « Oh…Bonjour Madame, je m’appelle Ciaran, et je cherche Saoirs Sevigny, vous la connaissez peut-être ? » La femme en face de lui le regarda d’un drôle d’air. « Ciaran Filan. Le portrait de ton père. » Et elle le laissa rentrer. Il fut surpris qu’elle connaisse son nom alors qu’il ne l’avait même pas prononcé. Il entra dans la maison et la mère de la dénommée Saoirs hurla en bas de l’escalier. « SAOIRS ! T’as de la visite ! » Elle ne répondit pas, alors la mère lui assura qu’il pouvait monter. Surpris, il ne se fit tout de même pas prier, et il se rendit à l’étage. Toutes les portes étaient ouvertes sauf une, il en déduit que la jeune Sevigny devait s’y trouver. Il ouvrit alors la porte, qui s’entrouvrit sur une pénombre inquiétante et un cri : « MAMAN Tu fais chier, je t’ai déjà dit, de…AHHHH Mais t’es qui toi ? » Ciaran s’excusa et se tourna. Saoirs était en petite tenue dans sa chambre. « T’as pas répondu à ma question. » Il la regardait bizarrement, cette fille était donc sa sœur. « Pourquoi tu te mets dans le noir alors qu’il fait beau ici ? » Elle se leva et s’approcha de lui de façon virulente : « Ohé t’es sourd ou quoi ?! T’ES QUI ? » Il baissa le regard vers elle et il se présenta : « Je m’appelle Ciaran, Ciaran Filan. » La jeune fille tilta. « T’es le fils de l’autre ? » Il acquiesça. « Pourquoi t’es venu ? » Il haussa les épaules: « Je sais pas. » Quelque chose attira alors l’attention de Saoirs. Deux marques dans son cou. Ciaran était un Freshie. Elle s’approcha alors de lui, et laissa glisser ses doigts sur la marque, avant de lui signifier : « En fait t’es pas venu pour rien… »