Your fascination With naked walls of silk and skin With no conditions I needed you to notice.... That's all I wanted
Ses doigts frôlaient la rambarde de l'escalier majestueux du manoir. Ses pas résonnaient lentement, la jeune femme arborait légèrement un sourire. Elle avait un plan : le faire céder à la tentation. Pas n'importe laquelle : celle de la transformer. Cette obsession ne la quittait donc jamais. Tout cela avec cette idée de retrouver Jack, son petit-ami. Il l'avait laissé en plan et la jeune brune ne l'avait pas supporter, surtout qu'elle avait découvert ce qu'il tramait. Et la voilà dans ce somptueux manoir, à servir de repas à des créatures de la nuit. Cela ne la dérangeait plus, depuis qu'elle avait trouver un nouveau « jouet ». Alix jouait avec l'une de ses mèches brunes et son regard noisette perçait les alentours à la recherche d'un jeune homme. Son bras fut soudain attrapé et elle se retrouva plaquée contre le mur, le souffle haletant, son cœur s'affolant. « Hum, tu est de plus en plus appétissante Alix.. » Elle connaissait ce vampire, d'ailleurs il aimait souvent ce nourrir d'elle lorsque Valerius n'était pas dans les parages. Le jeune homme s'empara de ses lèvres avidement et descendit tout en déposant des baisers dans son cou avant de planter ses crocs dans sa chair tendre. On ne pouvait rien leur refuser, après tout si elle était ici, ce n'était pas pour faire de la dentelle. La jeune brune sulfureuse ferma les yeux pendant quelques instants puis les rouvrit, sentant légèrement la douleur lorsqu'il enleva sa bouche de sa gorge. « J'espère que tu t'est régalé Lestat. » dit-elle en lui faisant un sourire provocateur. Le jeune homme essuya sa bouche et posa ses doigts ensanglantés sur les lèvres de la jeune femme. « Tu as un goût exquis ma chère Alix, et cela se renforce depuis la dernière fois. » La jeune femme se détacha de son étreinte tout en portant légèrement une main à sa gorge. « Ravie de l'entendre, maintenant si tu veux bien j'ai quelques affaires à régler. » La jeune femme s'en alla donc tout en faisant virevolter ses cheveux. Elle remettait les plis de sa robe noire en place, tout en humectant ses lèvres pulpeuses. D'un pas assuré, elle marcha vers la bibliothèque du manoir, elle était persuadé de le trouver à l'intérieur. Une masse s'y dessinait à l'intérieur et elle y reconnut Valerius. Elle s'avança telle une féline devant lui. Il se tourna rapidement tout en arborant un visage fermé. La jeune femme préleva quelques gouttes de son sang sur sa plaie légèrement ouverte et posa son doigt sur la bouche du vampire. « C'est comme cela que tu me dis bonjour ? » dit-elle en faisant une moue boudeuse. Alix s'éloigne de lui et prit appui sur le canapé, le regardant de ses yeux de braise.
Valerius Lawford FEEL HER BURNING THROUGH MY VEINS.
◦ groupe : vampire (caitiffs). ◦ occupation(s) : nettoyeur ϟ peintre amateur ϟ sans emploi. ◦ mood : grumpy and hungry.
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Sujet: Re: you're such a fool (r.) Mar 28 Déc - 2:04
Can you explain to me how you're so evil ? It's too late for me now, there's a hole in the earth.
Il l'avait senti approcher, néanmoins, Valerius resta de marbre et refusa de bouger. Pour une fois, il ne ressentait plus cette envie indéniable de la fuir, de prendre ses distances. Et il aurait pu passer des heures à réfléchir à la raison, si seulement elle n'était pas aussi évidente - peut-être inconsciemment, peut-être pas, Alix était en train de le provoquer. Pas comme elle le faisait d'habitude, en jouant de ses sourires en coin, alors que ses yeux brillaient à la lueur des bougies. Non, à cet instant, elle était en train de lui affliger la pire des tortures, - elle venait de se faire mordre par un autre vampire et venait vers lui, comme si de rien n'était. Certes, les Freshies étaient là pour que tous puissent se nourrir. Mais c'était, de loin, la chose à laquelle il ne parvenait pas à s'habituer, peu importe le temps qui s'écoulait et ses 'supérieurs' qui le remettaient à sa place. Valerius n'aimait pas partager. L'idée seule qu'un autre puisse poser ses mains sur celle qu'il considérait comme sienne, le répugnait et le mettait hors de lui. A cause de ce trait de caractère particulièrement fâcheux, il s'était retrouvé, à maintes reprises, à quelques pas de sa propre mort. Sa jalousie était maladive et sa possession virait souvent à l'obsession. Un grognement sourd s'échappa de ses lèvres, alors qu'elle s'éloignait déjà, aguicheuse. « Tu devrais sérieusement songer à cesser ton petit jeu. Même ma patience a des limites, » lâcha-t-il finalement d'une voix légèrement rauque et ironique, en effaçant d'un revers de sa main et à contre cœur, le sang qu'Alix avait laissé en effleurant ses lèvres. Les notes sucrées de son parfum étaient suffisantes pour éveiller sa faim, mais il refusa obstinément de se laisser tenter. S'il y avait bien quelqu'un à qui la notion de la patience échappait presque totalement, c'était bien à Valerius. Il devait constamment se faire violence pour ne pas se laisser contrôler par une impulsion, pour ne pas faire le faux pas de trop, submergé par sa colère. Il n'était pas parmi les favoris du Comité, au contraire, il frôlait souvent la liste noire. Le moindre acte irréfléchi, et il risquait de se faire brûler vif. Alix ne faisait que compliquer les choses, rendant sa situation d'autant plus dangereuse. Elle était celle qui était capable de le faire craquer et cela pouvait très mal tourner pour lui. Très, très mal tourner. « C'est très audacieux, de venir me voir après avoir servi un autre. » Il savait qu'il aurait été bien plus raisonnable de ne pas emprunter cette voie là et de se taire. Mais il n'en était tout simplement pas capable. Le sourire d'Alix s'agrandit, ses yeux scintillant d'amusement qu'elle semblait éprouver face à cette situation. En une fraction de seconde, alors qu'elle n'eut même pas le temps de cligner des yeux, il se retrouva face à elle, son visage à quelques centimètres du sien. Ses yeux légèrement ambrés virèrent au rouge instantanément, alors que d'un geste vif et pas des plus aimables, il glissait sa main derrière sa nuque, l'obligeant à pencher la tête sur le côté. Il l'entendit réprimer un râle, - elle n'appréciait certainement pas la façon dont il se comportait. Les yeux luisant toujours du même rouge écarlate, Valerius parcourut d'un regard presque dégoûté la blessure de son cou. Il n'y avait que deux petites plaies, qui allaient certainement se refermer d'ici quelques jours, et le sang n'en coulait presque plus. « A-t-il été aimable ? Tendre ? A-t-il chuchoté des mots doux à ton oreille avant de dîner ? » souffla-t-il sur un ton plein de sarcasme, son étreinte sur son cou se faisant plus dure. Il crut voir de l'étonnement, dans les yeux de la jeune femme. Mêlé au... doute ? Ou à la peur, il n'en était pas très sûr. Malgré le fait qu'il s'était déjà montré assez brusque avec elle, il avait toujours su se reprendre. Avec un feulement frustré mais à peine audible, il la repoussa. « Tu m'as coupé l'appétit, Friegder, alors tu peux partir. »
Sujet: Re: you're such a fool (r.) Mar 28 Déc - 19:47
« Tu devrais sérieusement songer à cesser ton petit jeu. Même ma patience a des limites, » lLa jeune femme planta ses prunelles dans les siennes avec violence. Ce petit jeu ne cesserait que lorsqu'elle aurait ce qu'elle souhaitait de lui, pas avant. Elle n'allait tout de même pas flanché devant lui, même si sa condition était nettement supérieure à la sienne. Ses doigts caressaient le velours du canapé lentement. « Je serais curieuse de voir cela Valerius. » Elle plissa légèrement les yeux voyant qu'il rejetait son sang. Elle releva cependant la tête, le toisant de son regard noisette. Il faisait cela pour la provoquer dans un certain sens. Elle savait qu'il ne pouvait résister à son sang, c'était dans sa nature. Ses yeux trahissaient agréablement ses paroles. La jeune brune savait qu'elle avait prit un risque en venant le voir, tout en sachant qu'elle venait d'être « goûtée » quelques minutes d'avant. Seulement, Alix ne reculait devant rien, son audace lui couterait peut-être la vie mais que serait-elle si on ne prenait jamais de risque ?.« C'est très audacieux, de venir me voir après avoir servi un autre. » La jeune femme arqua ses sourcils, arborant un léger sourire malicieux. Puis il vient vers elle rapidement comme à son habitude, en un clin d'oeil. Alix ne put réprimer un léger frisson. Elle le défia du regard, ouvrant légèrement sa bouche, s'apprêtant à répliquer mais il en fut tout autrement. Ses doigts enroulèrent la nuque de la jeune femme qui pensait clairement l'avoir vaincu. Trop facilement. Elle était maintenant tout contre lui, sentant son souffle chaud sur sa peau tiède. Elle sentait son regard s'immobiliser sur la plaie que Jack lui avait faite. Elle pensait qu'il allait la rouvrir avec ses propre crocs et s'abreuver comme il le faisait souvent. « A-t-il été aimable ? Tendre ? A-t-il chuchoté des mots doux à ton oreille avant de dîner ? » Alix fronça les sourcils. Ce n'était pas la première fois qu'il se montrait brusque avec elle mais disons que cela ne la dérangeait pas en outre mesure. La douceur totale, n'avait jamais été son plaisir, au contraire elle semblait s'en éloigner alors les questions du vampire la désarçonnait légèrement mais elle feignit l'indifférence. « Aimable, certes et doux comme un agneau, il a doucement planté ses crocs dans ma chair.. Hum, il m'a juste dit que j'étais exquise. N'est-ce pas vrai ? » La jeune femme riait légèrement avant de se sentir repoussé par le jeune homme. Le visage fermé, elle planta ses ongles dans le canapé, y laissant des traces. « Tu m'as coupé l'appétit, Friegder, alors tu peux partir. »Alix fit mine de se masser le cou, révélant l'autre partie, intacte de toute agression. La lumière mettait l'accent sur sa jugulaire, la jeune femme y passait ses doigts caressant sa peau, tout en observant Valerius. Elle s'approcha de lui, tout en posant son doigt sur son torse . « Vraiment ? Car je peux sentir, que tu as très soif.. n'ai je pas raison ? Elle approcha lentement sa gorge de la bouche du jeune homme et ses lèvres caressant le lobe de son oreille. « Si tel est ton souhait, je peux partir. Je suis sûre que Jack se fera un plaisir de remettre le couvert. » dit-elle en souriant. Puis elle s'éloigna lentement de lui.
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Sujet: Re: you're such a fool (r.) Jeu 30 Déc - 14:40
Sa mâchoire se contracta nerveusement, alors qu'il sentait, avec un certain étonnement, ses ongles se planter douloureusement dans les creux de ses paumes. Il n'avait même pas réalisé qu'il serrait les poings - s'il aurait encore été humain, ses jointures en auraient blanchi. Valerius savait que tout était bien plus simple qu'il ne voulait le penser, en réalité. La seule chose qu'il devait faire, afin de mettre un terme à cette situation et cesser de se torturer lui-même, c'était de l'ignorer. D'ignorer ses mots acerbes, ses regards mutins, ses sourires charmeurs dont elle seule semblait avoir le secret. Et il était plutôt doué pour ignorer quelqu'un, en règle générale. En fait, malgré son sadisme évident et le fait qu'il aimait se laisser tenter par quelques moments de 'faiblesse' où il laissait ses instincts dominer, il n'était pas toujours aussi violent et cruel qu'on pouvait le croire. Ainsi, lorsque quelqu'un agissait de manière que Valerius ne pouvait tolérer - en parlant dans son dos et en le trahissant, par exemple - il n'entrait pas dans une rage aveugle et ne détruisait pas tout sur son passage. Il se contentait d'ignorer la dite personne, car elle cessait d'exister à ses yeux. Et il n'y avait qu'à lui demander, car il en savait un rayon à ce sujet depuis le temps : il n'y avait pas d'attitude plus blessante, de vengeance plus savoureuse, que de rayer quelqu'un de sa vie à jamais pour qu'il se sente inutile et insignifiant. Pourquoi était-ce si dur d'adapter cette même tactique avec Alix ? Pourquoi quelque chose le bloquait, tel un mécanisme en panne, à chaque fois qu'il se disait qu'il n'allait plus jamais lui adresser la parole et poser son regard sur elle ? Sur sa peau soyeuse de velours, sur ses longs cheveux aux reflets chocolatés qu'il aimait tant caresser. Sur son cou dénudé, exposé, à sa merci. La plus douce des tentations, la plus douloureuse des tortures... Son sang mielleux à l'odeur si enivrante qu'il en perdait la tête, semblait l'avoir empoisonné. Il n'était plus lui-même et elle était la seule fautive, il en était certain. Alix n'eut guère le temps d'aller bien loin - voilà qu'il la rattrapait déjà, sa poigne de fer se refermant autour de son avant-bras. Il la tira en arrière, puis la plaqua violemment contre le mur le plus proche. A bout de souffle, la jeune femme le fixa, mais une fois de plus, ce que son regard brillant reflétait lui échappa. Se délectait-elle de le voir dans un état pareil ? « Je... ne veux pas... qu'il te touche. » articula-t-il lentement, comme s'il parlait à une enfant capricieuse qui refusait d'obéir. « Et si pour cela, il faudra que je le tue, alors ainsi sera-t-il. Sache juste que je risque d'être sévèrement puni par le Comité, ils ne pardonnent pas de tels excès de colère. Et quand je dis sévèrement puni, je veux dire tué, bien évidemment. » Du revers de sa main, il effleura sa joue, puis retraça la courbe de son menton de son pouce. L'espace de quelques secondes, son regard se fit rêveur, mais il se reprit très vite - un sourire en coin sarcastique se dessina sur ses lèvres. « Et quand je serai mort... bonne chance pour trouver quelqu'un qui puisse les convaincre que tu vaux la peine d'être transformée. Parce qu'au fond, tu le sais très bien, je suis le seul à envisager cette possibilité. Sinon, tu ne reviendrais pas vers moi à chaque fois, » susurra-t-il avant de remettre une mèche de ses cheveux derrière son oreille. Il la sentit frissonner légèrement et cette réaction le fit sourire davantage. Il aurait été bien plus raisonnable de s'arrêter là, mais Valerius n'y trouva plus la force de résister. Ses lèvres glacées effleurèrent son menton, en suivirent le contour jusqu'à descendre vers son cou. Déjà sur le point de se laisser contrôler par sa faim qui se faisait de plus en plus féroce, il refusa néanmoins de planter ses canines dans sa gorge et de s'abreuver de son sang. Pas maintenant. Les pointes aiguisées de ses crocs ne laissèrent donc que deux petites égratignures, à peine visibles, sur sa peau. Il s'écarta, son regard planté dans le sien. « Je compte donc sur toi pour te trouver une excuse, la prochaine fois que ce crétin voudra poser ses sales pattes sur toi. Tu lui diras que t'as attrapé la grippe, tu improviseras. Enfin... si tu veux garder ne serait-ce qu'un espoir d'être transformée un jour. »
Sujet: Re: you're such a fool (r.) Jeu 30 Déc - 18:16
Elle savait qu'il n'allait pas la laisser partir cela paraissait inévitable. Malgré le fait qu'elle ne cessait de lui demander sans cesse sa transformation, la jeune brune ne pouvait s'empêcher d'aimer la manière dont il l'a regardait, la manière qu'il avait de caresser sa peau de ses doigts glacés. Seulement, jamais elle ne lui dirais une telle chose, non, car la fierté la tenait, ne voulait pas qu'elle fasse un mauvais pas, celui qui pourrait la déstabiliser devant lui. Une douleur à l'avant-bras lui fit prendre conscience que Valerius était tout près. Elle se retrouva prisonnière entre une étagère de livre et le corps du jeune homme. Alix jeta un bref coup d'œil aux livres qui venaient de s'écrouler près d'elle, puis ses yeux trouvèrent ceux de Valerius. Une mèche de ses cheveux bruns se colla près de sa lèvre. Son cœur battait la chamade, son souffle était légèrement saccadé. Ouvrant légèrement la bouche, elle regardait avec véhémence le jeune homme. Sa peau froide brûlait la peau de la jeune brune comme une caresse. Alix fronçait les sourcils. « Je ne savais pas que les vampires pouvaient être sentimentaux. » Un léger sourire moqueur vint se poser sur ses lèvres, même si elle savait que la situation n'était pas à son avantage. La jeune freshie écouta attentivement ses paroles tout en cherchant leurs significations. Non il n'avait aucun droit sur elle. Alix se débattit légèrement, pour lui faire comprendre qu'il avait tort. Elle cessa de gigoter un bref moment lorsqu'il remit une mèche derrière son oreille. « Et qui te dis que je ne le fais pas pour le plaisir de te torturer hein ? Je peux très bien séduire un autre vampire pour obtenir ce que je veux. Jamais je n'abandonnerais tu m'entends. Et puis tu me refuses ce que je veux alors je reviens. » Ses mots étaient hachés, elle voulait qu'il résonnent avec une certaine violence. Son regard se fit plus dur, tandis que le jeune homme plongea sa tête dans son cou. Elle sentait ses lèvres embrasser sa mâchoire et lorsqu'il effleura sa peau de ses dents, elle ne put se retenir de frissonner. Alix sentait monter la colère lui venir tel un violent poison qui parcourait ses veines. Il ne l'avait pas mordu comme elle l'aurait espérer. C'était comme si elle perdait petit à petit le contrôle de la situation. Elle n'allait sûrement pas se laisser traiter de la sorte. Elle le poussa alors violemment, et pris le premier livre qui lui venait et le lui lança. « Tu n'a aucun droit sur moi. Ne sois pas si sûr de toi Valerius. Avoue que tu aimes lorsque je reviens vers toi, je suis ton obsession et tu ne peux pas le nier. » Ses yeux se plissèrent tandis que ses mains arrangeaient sa robe. « Alors je pourrais te dire bonne chance pour tous les vampires que tu tueras lorsqu'ils voudront me goûter. » dit-elle dans un léger rire sarcastique. La jeune brune lui tourna le dos, se postant devant le feu de cheminée étincelant. « Et j'en doute que tu y arrives. De toute manière que vaut la vie d'une Freshie ? » dit-elle en jetant un bref coup d'œil à Valerius. L'irriter, ne pas cesser de le mettre en colère. Alix ne pouvais pas s'en empêcher, c'était comme qui aime bien châtie bien. Alors pourquoi frémissait-elle lorsqu'il la touchait ? Pourquoi ne mettrait-elle pas sa fierté de côté et tenter d'oublier l'être qui était le plus cher à ses yeux afin d'être en paix ? Non, jamais elle ne baisserais sa garde, jamais.
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